"Donner un nom à notre critique intérieur permet de bien le distinguer de nous-même"
Florence SERVAN-SCHREIBER
Ce conseil paraît un peu étrange mais pour l'avoir expérimenté, il est efficace. Sans devenir pour autant schizophrène, personnifier la partie de nous qui nous mène la vie dure, c'est prendre du recul et admettre qu'elle n'est seulement qu'une petite partie de nous.
Donner un prénom à cette petite voix défaitiste et moralisatrice nous offre la possibilité de nous détacher un peu de sa dictature et de pouvoir la "remettre à sa place"!
La mienne s'appelle Pénélope et elle n'est pas très commode mais, je vous assure, c'est encore moi qui commande !😊
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